Toujours en mode plagia, mais cette fois-ci j’ai au moins fait l’effort de faire la traduction depuis l’anglais. Un petit post rédigé par Maya et qui décrivait assez bien un des aspects omniprésent et récurrent de la vie quotidienne ici : les insectes. Vivre ici au milieu de ce climat tropical, c’est vivre au milieu de BEAUCOUP d’insectes. Cela va de la fourmi quasi invisible à l’énorme fourmi rouge dont la morsure vengeresse fait mal pendant 5 minutes. Du tout petit scarabée aux ailettes vertes à la gigantesque blatte de la taille d’un téléphone portable.
Au petit déjeuner, en attrapant le pot de miel, vous sentez que votre bras est immédiatement couvert de petites créatures à peine visibles. Avant de se servir en sucre, il faut sortir la grosse fourmi noire qui est morte d’une overdose de glucose. A table, il faut constamment faire de grands gestes pour éloigner les innombrables mouches qui se ruent sur votre assiette et votre verre de "fresco", pour y glisser gentiment leurs bactéries. Si vous ouvrez le placard sous l’évier, pour attrapez une poêle, vous assistez à une course de blattes qui tentent de se mettre à l’abri. Il arrive aussi que votre pile de T-shirt soit couverte d’un jour sur l’autre par un réseau inextricable de toiles d’araignées. Bon et bien sûr, les pires sont les moustiques…
Les insectes font parties intégrantes de la vie ici. Si vous abandonnez votre bouffe sur une table plus de 5 minutes sans la couvrir, c’est un sacrifice que vous faites au Dieu des insectes. Si vous commencez à cuisiner le soir sans avoir préalablement enfilé un pantalon, des chaussettes et des chaussures, vous commencerez très vite à danser de façon ridicule pour essayer de faire fuir la horde de moustiques qui se régalent sous la table.
A plus grande échelle, les insectes détruisent les choses à une vitesse surprenante, par ici. Ainsi, le bois est dévoré par les termites, tout endroit délaissé est envahi par des nids de guêpes, frelons, et autres insectes que l’on préfère contempler derrière un vitrage blindé, et il n’est pas rare de voir des colonies de fourmis faire disparaître des plantes en une heure. En bref, c’est la jungle, ici !
Au petit déjeuner, en attrapant le pot de miel, vous sentez que votre bras est immédiatement couvert de petites créatures à peine visibles. Avant de se servir en sucre, il faut sortir la grosse fourmi noire qui est morte d’une overdose de glucose. A table, il faut constamment faire de grands gestes pour éloigner les innombrables mouches qui se ruent sur votre assiette et votre verre de "fresco", pour y glisser gentiment leurs bactéries. Si vous ouvrez le placard sous l’évier, pour attrapez une poêle, vous assistez à une course de blattes qui tentent de se mettre à l’abri. Il arrive aussi que votre pile de T-shirt soit couverte d’un jour sur l’autre par un réseau inextricable de toiles d’araignées. Bon et bien sûr, les pires sont les moustiques…
Les insectes font parties intégrantes de la vie ici. Si vous abandonnez votre bouffe sur une table plus de 5 minutes sans la couvrir, c’est un sacrifice que vous faites au Dieu des insectes. Si vous commencez à cuisiner le soir sans avoir préalablement enfilé un pantalon, des chaussettes et des chaussures, vous commencerez très vite à danser de façon ridicule pour essayer de faire fuir la horde de moustiques qui se régalent sous la table.
A plus grande échelle, les insectes détruisent les choses à une vitesse surprenante, par ici. Ainsi, le bois est dévoré par les termites, tout endroit délaissé est envahi par des nids de guêpes, frelons, et autres insectes que l’on préfère contempler derrière un vitrage blindé, et il n’est pas rare de voir des colonies de fourmis faire disparaître des plantes en une heure. En bref, c’est la jungle, ici !
La "cancha" sur laquelle nous jouons
François nous a amené Gilbert jusqu’au Nicaragua, et avec lui (à partir de maintenant, il faut lire l’article avec l’accent de Toulouse, heing ?) l’espoir d’implanter une nouvelle religion, le rugueuby, comme on l’appelle, en terre nicaraguayenne. Ce ballon aura pas mal voyagé, entre Paris, Madrid, San José, Managua, Bluefields, Monkey Point, Punta de Aguila (son apogée, j’y reviendrai), et de nombreuses fois sur la plage d’El Bluff. Même si je suis encore à cent lieux d’être canonisé par le pape du rugby (j’ai nommé Alexandre Le Bris) pour avoir converti ces incultes base-balleurs et autres footeux de nicas, ça nous a permis de passer de bons moments, notamment avec les gamins. J’ai failli consacrer un article à une partie mythique de toucher sur la grande plage de Quinn, à Monkey Point, avec pleins de gamins, Julie, Lynn, David, Charles et Octavio. C’était magique de voir tous ces gamins laisser tomber leur ballon de foot pour aller tâter le cuir et aller mettre le cochon dans le maïs sans se faire rattraper par la patrouille (ouh là, je me laisse un peu aller, là…).
Vue du sud de Manhattan, depuis le toit du GE building (Rockefeller Center)
Le très célèbre, et toujours bondé, Times Square (intersection de la 7è et de Broadway)
La Bourse... Forcément...
Petit clin d'oeil (aéroport de Miami)
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Max, qui essaye de prendre le taureau par la corne...
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Je vous conseille d'aller voir un Musical Show sur Broadway. Si vous aimez l'humour des Monty Python, choisissez "Spamalot", c'était vraiment hilarant !